candide-x-anthony
+ InTroDucTioN +
| Prélude |
J'étais au bord de la falaise des morts, contemplant le vide sans fin qui se dressait à mes pieds. Soudain, je sentis quelqu'un m'y pousser violamment. N'ayant eu le temps de faire résistance, je tomba dans le néant.
Je me retrouvai entourée de cadavres poussiéreux et squelettiques, totalement cassée, pleine de sang, ne sachant pu me relevée. Me voyant ainsi, un homme, par hazard dans ce cimetière, s'approcha de moi. Il me regarda, me sourria, puis me tendit la main afin de m'aider à me relever. Je lui pris et me redressa de toutes mes forces. Une fois levée face à lui, son air sympathique devenu soudainement inquiétant. Prise de peur, je me suis reculée instinctivement. Il me suivait. J'ai pris la fuite. J'ai couru aussi loin que j'ai pu dans les décombres morbides. Fort heureusement, il ne m'a pas poursuivit longtemps.
Mais je ne savais pu où j'étais. Le paysage était sombre, monotone, lugubre... Vide... Puis j'entendis comme une voix m'appeler. Ce n'était guère des hallucinations, quelqu'un était réellement en train de m'appeler...
Une voix que je connaissais...
..Anthony
Cet ange...
Je me retrouvai entourée de cadavres poussiéreux et squelettiques, totalement cassée, pleine de sang, ne sachant pu me relevée. Me voyant ainsi, un homme, par hazard dans ce cimetière, s'approcha de moi. Il me regarda, me sourria, puis me tendit la main afin de m'aider à me relever. Je lui pris et me redressa de toutes mes forces. Une fois levée face à lui, son air sympathique devenu soudainement inquiétant. Prise de peur, je me suis reculée instinctivement. Il me suivait. J'ai pris la fuite. J'ai couru aussi loin que j'ai pu dans les décombres morbides. Fort heureusement, il ne m'a pas poursuivit longtemps.
Mais je ne savais pu où j'étais. Le paysage était sombre, monotone, lugubre... Vide... Puis j'entendis comme une voix m'appeler. Ce n'était guère des hallucinations, quelqu'un était réellement en train de m'appeler...
Une voix que je connaissais...
..Anthony
Cet ange...
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+ Faithless +
J'ai mal
Je me sens pas bien
J'ai la nausée
Je tape une crise
Je ne suis plus un être humain
Je suis un récipient à phobies
Ne croyant ne jamais savoir rien faire de mes mains
De ce monde, je fuis !
La vie est un long chemin de boue
Dont chacun de nos pas nous éclabousse
Je suis une tâche
Dans les draps de la société
L'amour n'est que souffrance
Celui que je chéris ne peut avoir d'yeux pour moi
Ces histoires passées me désarment
Me font couler des larmes de sang sur la joue
Car au font, je le sais bien
Cela n'est que peine perdue
Je ne suis rien face à la grandeur
Je ne suis rien, juste de la candeur.
Je ne suis qu'un clou
A enfoncer à coup de marteau
Dont la planche est mon cocon
Dans lequel je réfugie ma tristesse.
Si forte devant vous
Si faible dès que vous avez le dos tourné
Candide n'est pas la froideur qu'elle tente de paraître
Candide n'est qu'un mur de verre fragil
A quoi bon me dire 1001 belles choses
Je suis craintive à vos bonnes intentions
Celui qui me touche en plein coeur
Sache que je ne serais jamais la merveille que tu prétends
Je suis une incapable...
Je suis une moins que rien...
Sur ta gueule je crache ma haine
Alors qu'elle m'est destiné...
POURQUOI VOUS OBSTINEZ-VOUS A M'AIMER ?
De la viande fraîche, il y en a chez le boucher d'en face !
POURQUOI SUIS-JE SI FAIBLE ?
Mon seul point fort n'est que cette maudite jalousie !
Au fond du goufre, je sens cette douce fraîcheur
Elle envahit mon corps
Elle congèle mes larmes
C'est la mort...
Je me sens pas bien
J'ai la nausée
Je tape une crise
Je ne suis plus un être humain
Je suis un récipient à phobies
Ne croyant ne jamais savoir rien faire de mes mains
De ce monde, je fuis !
La vie est un long chemin de boue
Dont chacun de nos pas nous éclabousse
Je suis une tâche
Dans les draps de la société
L'amour n'est que souffrance
Celui que je chéris ne peut avoir d'yeux pour moi
Ces histoires passées me désarment
Me font couler des larmes de sang sur la joue
Car au font, je le sais bien
Cela n'est que peine perdue
Je ne suis rien face à la grandeur
Je ne suis rien, juste de la candeur.
Je ne suis qu'un clou
A enfoncer à coup de marteau
Dont la planche est mon cocon
Dans lequel je réfugie ma tristesse.
Si forte devant vous
Si faible dès que vous avez le dos tourné
Candide n'est pas la froideur qu'elle tente de paraître
Candide n'est qu'un mur de verre fragil
A quoi bon me dire 1001 belles choses
Je suis craintive à vos bonnes intentions
Celui qui me touche en plein coeur
Sache que je ne serais jamais la merveille que tu prétends
Je suis une incapable...
Je suis une moins que rien...
Sur ta gueule je crache ma haine
Alors qu'elle m'est destiné...
POURQUOI VOUS OBSTINEZ-VOUS A M'AIMER ?
De la viande fraîche, il y en a chez le boucher d'en face !
POURQUOI SUIS-JE SI FAIBLE ?
Mon seul point fort n'est que cette maudite jalousie !
Au fond du goufre, je sens cette douce fraîcheur
Elle envahit mon corps
Elle congèle mes larmes
C'est la mort...
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я тебя гюбгю (Russe)
Ai shiteru (Japonais)
I love you (Pas besoin de le dire)
Ich liebe dich (Pareil)
Te amo (Espagnol)
T'estimo (Catalan)
Minä rakastan sinua (Finnois)
Mi amas vin (Esperanto)
Quérote (Galicien)
Tá grá agam duit (Gaëlique d'Irlande)
Eu te amo (Portugais)
Ai shiteru (Japonais)
I love you (Pas besoin de le dire)
Ich liebe dich (Pareil)
Te amo (Espagnol)
T'estimo (Catalan)
Minä rakastan sinua (Finnois)
Mi amas vin (Esperanto)
Quérote (Galicien)
Tá grá agam duit (Gaëlique d'Irlande)
Eu te amo (Portugais)
- Commentaires textes : Écrire
***/// DeFouLoiR \***
J'aurai un jour le malheur de la rencontrer.
Ce jour, malgré ma haine, j'aimerais tout de même l'éviter.
Mais jamais je pourrais m'empêcher,
Ma colère est trop forte pour résister.
Tout comme mes pleurs sont trop grands
Comme hurlent les loups de Satans.
L'âme en sang, les côtes de mon corps ressorties,
Je gémis comme un soldat à l'agonie.
Ainsi, l'amertume suit son envole
Jamais je me suis sentis aussi virulante.
Je fantasme sur sa mise en bière, son enterrement
J'ai juré sa mort ; qu'elle crève lentement.
Ainsi, dans son cercueil, elle sera ma fureur
La peau décousue dans toute sa splendeur
Car elle a sû porté malheur à autrui,
Et comme moi, elle a tué et trahi !
Ce jour, malgré ma haine, j'aimerais tout de même l'éviter.
Mais jamais je pourrais m'empêcher,
Ma colère est trop forte pour résister.
Tout comme mes pleurs sont trop grands
Comme hurlent les loups de Satans.
L'âme en sang, les côtes de mon corps ressorties,
Je gémis comme un soldat à l'agonie.
Ainsi, l'amertume suit son envole
Jamais je me suis sentis aussi virulante.
Je fantasme sur sa mise en bière, son enterrement
J'ai juré sa mort ; qu'elle crève lentement.
Ainsi, dans son cercueil, elle sera ma fureur
La peau décousue dans toute sa splendeur
Car elle a sû porté malheur à autrui,
Et comme moi, elle a tué et trahi !
- Commentaires textes : Écrire
[Candide Mode "SADIK" Activé]
Le souffle de ta douleur
Pour qu'enfin j'implose de furie
Devant ton horrible candeur...
C'est si bon cette amertume
Que, peu à peu, tu consumes
Et te donne un air attristé
Si tu savais comme ta souffrance me fait chavirer
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